1802 (an X du calendrier révolutionnaire): Clément Félix Brossier Montigny, Les Stratagèmes des Echecs, https://books.google.fr/books?id=lVheAAAAcAAJ
L’auteur est indiqué comme Alfred Montigny sur la page Google. A ce propos voir la page Le Café de la Régence: Les Stratagèmes des Échecs (lecafedelaregence.blogspot.com)
Page 5: dans quel ordre enseigner le jeu d’échecs ?
Page 70: pions coiffés.
Nombreux exercices intéressants.
Notation: case de départ – case d’arrivée. Diagrammes avec les initiales des pièces en rouge pour les Blancs et en noir pour les Noirs.
1803: Analyse du jeu des échecs, par A.D. Philidor, Avec une nouvelle Notation abrégée et des Planches où se trouve figurée la situation du jeu pour les Renvois et les Fins de Parties
Utilise la notation algébrique avec case de départ et case d’arrivée.
La 4e partie, page 44, est commencée par les Noirs.
Page 123: mat Roi + Tour contre Roi
Page 145: Règles du jeu adoptées par la Société ou Club des échecs de Londres
1823: Traité élémentaire du jeu des échecs, Ulysse Desroches. Gallica.
La Dame est appelée Reine. La promotion d’un pion se fait en Reine uniquement.
La notation est littérale, cf la description du mat du berger ci-dessous. Décrit l’attaque à la découverte (page 75), le double échec (page 78), les attaques doubles, triples, quadruples (page 83), des pièces paralysées (page 87). Décrit aussi des mats: mat par le fou et la dame (page 95) (en précisant « on appelle échec du berger, celui qui se présente le premier, au commencement d’une partie » et écrit page 97 « Il faut, pour tenter l’échec du berger, compter ou sur l’ignorance ou sur l’inattention de son adversaire »).
1823: Nouvelle notation des parties et coups d’échecs. Par une société d’amateurs et par Philidor. Google.
1833: Nouveau traité du jeu des échecs. La Bourdonnais.
Notation algébrique.
1837: Encyclopédie des échecs. Aaron Alexandre. Véritable ancêtre de l’encyclopédie des ouvertures, dans laquelle l’auteur aurait introduit les symboles O-O et O-O-O.
1838: Traité élémentaire et complet du jeu d’échecs, traduit, revu et corrigé par Jacques-François Mouret. Gallica. Livre sur les mat élémentaires et les finales.
1843: Le jeu des échecs, traduit de l’italien de Gioachino Greco. Gallica.
1844: Le Jeu des échecs selon la méthode de Philippe Stamma (Édition ornée de 103 échiquiers). P. Stamma. Gallica.
1844: Méthode pour apprendre seul la marche des échecs et la règle de ce jeu. C. Vielle. Google. Claude Vielle est le propriétaire du Café de la Régence. Ce petit ouvrage compte 24 pages.
1846: Collection des plus beaux problèmes d’échecs au nombre de plus de deux mille, recueillis dans les auteurs anciens et modernes. A. Alexandre. Google.
1849: Introduction pratique au jeu des échecs, comprenant le Gomito de Damiano, portugais… la Centurie de Lolli et d’autres fins de partie. Q. Poirson-Prugneaux. Gallica.
Page 78: combinaison connue sous le nom de coup, échec ou mat du berger. Rapporte que Joseph Méry attribue à Paris l’invention du mat du berger dans le texte Le joueur d’échecs (1840): « Ce fut Pâris, berger sur le mont Ida, qui inventa le coup du berger. »
1858: Traité complet, théorique et pratique sur les fins de parties au jeu des échecs. Jean Preti.
1859: Choix des parties les plus remarquables jouées par Paul Morphy, Jean Preti. Google.
1860: Recueil de problèmes dédiés aux amateurs d’échecs. Paul Jounoud. Google.
1861: Nouveau manuel illustré du jeu des échecs, Jules Arnous de Rivière, Gallica.
1862: Stratégie raisonnée des ouvertures du jeu d’échecs. Philippe Ambroise Durand, Louis Metton, Jean Preti. Gallica.
Contient une bibliographie du jeu d’échecs (page 33), une notice sur les joueurs célèbres de 16e et 17e siècles (page 39), une explication des termes échiquéens (page 58) (dont le mot échange pour qualité), liste de parties à avantage ou à but (page 70), mats élémentaires (page 102),
Page 30: des temps. Page 47: règles des échecs
1863: Traité élémentaire du jeu des échecs : avec cent parties des joueurs les plus célèbres, précédé de mélanges historiques, anecdotiques et littéraires.
Barthélemy de Basterot. Gallica.
Ouvrage très complet de plus de 500 pages. Introduction historique. Page 59, poème de l’abbé Roman dans lequel il décrit une simultanée à l’aveugle de Philidor. Histoire de l’automate joueur d’échecs page 102. Tour du Cavalier, page 110. Page 132, répertoire de termes relatifs aux échecs (dont mat du berger ou mat de l’écolier (page 140)). Evolution des règles du jeu (page 179). Des parties à avantage (page 187)
1864: Bibliographie anecdotique du jeu des échecs, Jean Gay. Google.
Contient une quantité incroyable de renseignements sur les livres, magazines, joueurs, cercles d’échecs.
1868: ABC des échecs, Jean-Louis Preti. Gallica.
Page 15: définition de pièce clouée. Page 17, la 4e partie illustre le mat du berger. Page 30: exemples de pièges. Page 103: 105 problèmes de difficulté croissante. Page 147: règles du jeu.
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